Drainée
par GP
S’instaure un trou dans le fond de mon plexus solaire. Un vide assommant et sans trop d’explications plane.
Grisaille inaltérable.
La bonne vieille mélancolie qui traîne – long time no see.
Rengaines redondantes qui n’en finissent pas de finir.
Se succèdent angoisses perpétuelles, cousines consanguines.
C’est essoufflant.
Et je n’ai pas le cardio émotionnel assez cultivé.