Claque et calque.

par GP

C’est un tic qui tape ta tempe dans l’attente
Une idée qui se mets à coulée sans que tu puisses l’arrêter,
Simplement une source qui sape sans cesse tout ce que t’as d’énergie qui failli.
La jalousie.
Paranoïa.
«Papa, papa, aide moi, papa» qui peut peut-être palper de la poupe au présent ces pulsations qui privent.
Pouf et paf.
Visou qui désencre.
«Capitaine, mon capitaine, aide moi, capitaine» à capituler cette rengaine qui captive et m’attire loin du cap.
Braque et débarque.  Renvoi moi à ma baraque béte et béate.
Boum.
Vendredi qui bénit que la semaine soit finie et que soient maudits les lundis aux jeudis.
Crispée comme une coupe de vin qui crie, Shiraz fini, foutu, fichu.
Le tic traque encore et en colère de ma croupe à mon cou en un cassant clignement.
Claque.
Calque.
Lignes tracées d’une destinée mitigée qui ne sait elle doit tricher.
Le plagia ça donne zéro au bulletin.
Ça vaut d’y penser.  Répéter, imiter, compiler, pirater: mène au zéro fatal, mais au pourcentage qui déloge de sa rage.

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